Fin février, la météo est exceptionnellement douce et cette sortie qui a fini en bain de soleil et en baignade pour certains.
Après un long trajet depuis Dijon nous retrouvons le club de Moulins sur place où nos adhérents-étudiants décidément très motivés nous ont devancé. Le temps de s’équiper et nous partons vers l’arrière de l’imposant terril des mines de charbon de La Machine. Les blocs fossilifères sont rares sur ces déblais du Stéphanien. L’essentiel des roches de surface du terril ont été fragmentées par des dizaines d’années de pluie et de gel et il faudra creuser un peu pour trouver des grès ou des « schistes » sains capables de fournir quelques échantillons. La matinée est passée à rechercher un endroit productif . Quelques découvertes de petits échantillons donnent un peu d’espoir et c’est un endroit assez végétalisé que nous avions déjà fouillé il y a deux ans qui nous semble le plus intéressant.
13h00: pause sympathique au bord du lac faite d’échanges culturels en bouteille avec Moulins et baignade rafraîchissante (parait-il) de quelques un(e)s de nos étudiants.
L’après-midi est consacrée à la visite du très intéressant Musée de la Mine pour certains, d’autres préférant retourner sur leur « chantier » galvanisés par la découverte de quelques annularia en fin de matinée.
La fouille de l’après-midi se révèlera décevante (quelques « fougères » et annularia de petite taille) et les visiteurs du Musée reviendront enchantés même sans avoir pu visiter la galerie du puits des Glénons faute de réservation.
Retour en fin d’après-midi sous le même soleil, les « gueules noires » maintenant c’est nous!